EXPERTISE

Base de données de coûts de rénovation

L’efficacité de la méthode EPIQR+ tient dans une relation efficace et éprouvée entre une base de données solide et une saisie simplifiée : une base de données professionnelle et exhaustive, une saisie rapide et didactique, un budget cadré en phase préliminaire
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Une base de données professionnelle et exhaustive
Composée de plus de 1500 postes de travaux et coûts unitaires, associés à plus de 150 unités métriques, elle est constamment mise à jour selon l’évolution de l’état de l’art et de la technique d’une part, et des coûts réels pratiqués sur le marché de la rénovation d’autre part
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Une saisie rapide et didactique

Une modélisation du bâtiment réduite à 10 valeurs métriques de base et l’évaluation standardisée de la dégradation du bâtiment, décomposé en 50 éléments architecturaux et techniques, dont l’état est évalué selon 4 états de dégradation standardisés

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Un budget cadré en phase préliminaire
Suivant l’expérience, les études menées en interne et les retours des utilisateurs du programme EPIQR+, l’investissement total réel après travaux se situe dans une fourchette de l’ordre de ±15% par rapport aux travaux calculés par la méthode EPIQR+

Architecture de la méthode EPIQR+

EPIQR+ possède une classification hiérarchique simple à trois niveaux. Elle permet une lecture intelligible de l’interface et des rapports par l’ensemble des intervenants du bâtiment, sans compromettre la précision des coûts, et la documentation des interventions de rénovation de l’ouvrage.

Option CO2 EPIQR+ Batiment
Retraites Populaires utilise la solution EPIQR+

Évaluation standardisée du bâtiment

Au travers d’une visite systématique de l’ouvrage de visu, sans réalisation de sondages, le diagnostic de l’état physique et fonctionnel du bâtiment est établi. Un code de dégradation, lié à un code d’intervention, est attribué à chacun des éléments constructifs ou techniques du bâtiment.

Pour apprécier le degré de dégradation de chacun des éléments, quatre états standardisés de dégradation ont été définis. Ces niveaux représentent l’état de dégradation physique ou fonctionnel le plus probable que l’on peut rencontrer pour l’élément. Ils sont directement liés à un niveau d’intervention, incluant les travaux nécessaires à la restauration de l’état à neuf de l’élément évalué.

Lors de l’établissement du diagnostic, la méthode établit les correspondances suivantes :

La méthode décrit de manière didactique et standardisée les codes de dégradation et les codes de travaux correspondants pour tous les éléments de diagnostic. L’expert examine les éléments et détermine le code de dégradation le plus proche de leur état physique et fonctionnel observé.

Ces codes de dégradation et de travaux peuvent être accompagnés de travaux supplémentaires indiquant la possibilité d’améliorer le standard de l’élément (amélioration de la performance thermique de l’enveloppe, changement de vecteur énergétique, mise en conformité SIA 358, portes EI30, etc.)

État de dégradation :

0 – Bon état
1 – Dégradation légère
2 – Dégradation importante
3 – Fin de durée de vie

Niveau d’intervention :

0 – Pas d’interventions
1 – Réfections légères
2 – Réfections importantes
3 – Réfection complète

Horizon d’intervention

L’horizon d’intervention permet à l’expert de déterminer le degré d’urgence d’intervention.

Option CO2 EPIQR+ Batiment
Estimation des emissions de CO2 indirectes

Variantes d’interventions

L’interface peut comparer jusqu’à trois stratégies d’intervention différentes, permettant d’effectuer des scénarios de rénovation. Associé au coût des travaux de chacune des interventions préconisées, le calcul du bilan carbone indirect induit pour ces interventions aide également à se déterminer sur la meilleure stratégie à adopter pour la préservation de l’environnement.