EXPERTISE
Base de données de coûts de rénovation

Une base de données professionnelle et exhaustive
Une saisie rapide et didactique
Une modélisation du bâtiment réduite à 10 valeurs métriques de base et l’évaluation standardisée de la dégradation du bâtiment, décomposé en 50 éléments architecturaux et techniques, dont l’état est évalué selon 4 états de dégradation standardisés
Un budget cadré en phase préliminaire
Architecture de la méthode EPIQR+
EPIQR+ possède une classification hiérarchique simple à trois niveaux. Elle permet une lecture intelligible de l’interface et des rapports par l’ensemble des intervenants du bâtiment, sans compromettre la précision des coûts, et la documentation des interventions de rénovation de l’ouvrage.
- La structure du bâtiment est classée selon 10 groupes afin d’avoir une vision globale du diagnostic
- Ces groupes sont décomposés en éléments, au nombre de 50. Ils correspondent à des regroupements de composants ou de chaînes de composants, assurant la même unité de fonction
- Afin de pouvoir appliquer la méthode à l’ensemble du parc de bâtiments construits, des types ont été définis pour certains éléments
- Disponible bientôt : classification des coûts par eCCC-bat et CFC



Évaluation standardisée du bâtiment
Au travers d’une visite systématique de l’ouvrage de visu, sans réalisation de sondages, le diagnostic de l’état physique et fonctionnel du bâtiment est établi. Un code de dégradation, lié à un code d’intervention, est attribué à chacun des éléments constructifs ou techniques du bâtiment.
Pour apprécier le degré de dégradation de chacun des éléments, quatre états standardisés de dégradation ont été définis. Ces niveaux représentent l’état de dégradation physique ou fonctionnel le plus probable que l’on peut rencontrer pour l’élément. Ils sont directement liés à un niveau d’intervention, incluant les travaux nécessaires à la restauration de l’état à neuf de l’élément évalué.
Lors de l’établissement du diagnostic, la méthode établit les correspondances suivantes :
La méthode décrit de manière didactique et standardisée les codes de dégradation et les codes de travaux correspondants pour tous les éléments de diagnostic. L’expert examine les éléments et détermine le code de dégradation le plus proche de leur état physique et fonctionnel observé.
Ces codes de dégradation et de travaux peuvent être accompagnés de travaux supplémentaires indiquant la possibilité d’améliorer le standard de l’élément (amélioration de la performance thermique de l’enveloppe, changement de vecteur énergétique, mise en conformité SIA 358, portes EI30, etc.)
État de dégradation :
Niveau d’intervention :
Horizon d’intervention
L’horizon d’intervention permet à l’expert de déterminer le degré d’urgence d’intervention.
- Les travaux urgent ou à réaliser à court terme dans les cinq ans
- Les travaux à engager à moyen terme, entre cinq et dix ans
- Les travaux à prévoir à long terme et les travaux d’entretien


Variantes d’interventions
L’interface peut comparer jusqu’à trois stratégies d’intervention différentes, permettant d’effectuer des scénarios de rénovation. Associé au coût des travaux de chacune des interventions préconisées, le calcul du bilan carbone indirect induit pour ces interventions aide également à se déterminer sur la meilleure stratégie à adopter pour la préservation de l’environnement.